photo Through the Grapevine - Alexander Vantourhnout

Through the Grapevine - Alexander Vantourhnout

Spectacle

LIMOGES 87000

Le 27/03/2022

Dans le cadre du Festival Danse Emoi 2022. Through the Grapevine est un pas de deux original, exécuté par deux hommes. Les artistes, Alexander Vantournhout et Axel Guérin, montrent leurs corps dénué de tout artifice. Ils sont entraînés, mais pas parfaits. Ils ne ressemblent pas à de belles images d’Instagram et n’essaient pas de convaincre par des mouvements virtuoses. Ce qu’ils montrent, c’est la beauté spontanée. La chorégraphie joue sur leurs différences de morphologie et de force physique. Avec concentration, efforts et humour, les artistes recherchent équilibre et harmonie. Through the Grapevine réincarne l’importance du toucher comme forme distincte et irremplaçable d’intimité. Alexander Vantournhout est un chorégraphe très atypique. Par sa double formation, arts du Cirque et danse contemporaine, il pose les bases de son langage physique personnel, qui explore invariablement la zone crépusculaire entre le cirque, la danse et le sport, cet entre-deux où ces différentes pratiques corporelles se rencontrent et s’influencent à ce point même que la distinction entre celles-ci devienne absolument superflue. Au CCM Jean-Moulin. A partir de 17H. Durée : 1h. Tarifs : 8€, 10€,[...]

photo Le sacrifice

Le sacrifice

Spectacle

LIMOGES 87000

Du 29/03/2022 au 30/03/2022

Reflet de l’héritage botswanais de Dada Masilo, Le Sacrifice questionne le mal que se fait l’humanité. Est-ce bien nécessaire pour changer ? Avec Le Sacrifice, la chorégraphe Dada Masilo explore le minimalisme et l’animalité de la danse botswanaise en regard de l’oeuvre musicale d’Igor Stravinsky, Le Sacre du Printemps. Car, pour la chorégraphe, qui a grandi en Afrique du Sud dans un environnement Xhosa, la question n’était pas seulement de faire comme à l’accoutumée, mélanger des danses apparemment différentes, mais de partir à la rencontre de ses origines profondes et de travailler des marqueurs identitaires : le collectif, la scansion, les rites et plus loin encore le désir sacrificiel. « Pour demander quelque chose aux ancêtres, il faut être capable de donner quelque chose en retour ». Si aujourd’hui Le Sacrifice se fait le reflet de son héritage botswanais, il questionne avant tout le mal que se font les humains. Est-ce bien nécessaire pour changer ? Que doit-on sacrifier ?Comment repartir autrement ? Sur scène, quatre musiciens et douze danseurs s’organisent en une communauté dont l’humour et les rires rendent le cruel un tant soit peu vivable. A 20h. Au Théâtre de[...]